« J’ai compris qu’ils s’aimaient vraiment, et j’ai eu un peu honte de mon hostilité qui finalement est infondée ». Il dit avoir depuis un autre regard sur l’homosexualité.
Déjà perçue comme archaïque par une majorité de la population, cette position,avec les progrès de l’instruction et des connaissances, commence à être sévèrement jugée. Même les très conservateurs scouts américains s’en sont rendu compte.
Le président kenyan lui a rétorqué que la population du Kenya n’aimait pas les homos. Triste argument ; il y a, hélas, des populations dans le monde qui n’aiment pas les noirs et c’est de la responsabilité des politiques d’expliquer pourquoi le racisme est horrible et bête.
Bergé, puis Augier ont été courageux et généreux. Il faut les en remercier. Pour ma part, je soutiens à bout de bras, et beaucoup plus modestement, les Editions Gaies et Lesbiennes et je souhaite longue et heureuse vie à Yagg. Mon souhait : que les LGBT soient plus solidaires et comprennent que nous devons resserrer les coudes pour éviter les régressions qui nous menacent.
Si c’est vrai c’est attristant pour le niveau de l’espèce humaine quand on voit le nombre de pays où les droits de l’homme sont bafoués.
Attention, c’est du mécénat. Ne comptez pas sur cela pour faire fortune. En revanche c’est intéressant intellectuellement pour un jeune retraité à l’aise. (Je vais avoir 77 ans le mois prochain, alors c’est un peu lourd). Si vous voulez plus d’informations, contactez-moi sur sebastien@editionsgaiesetlesbiennes.eu
Pas un sou pour l’économie des pays qui nous oppriment et qui oppriment 10% de leurs populations. Il y a plein de pays sympathiques, où il fait très beau, et où les lois nous protègent des obscurantistes. Réservons-leur notre clientèle.
L’homosexualité est sans doute une autodéfense de l’espèce humaine pour éviter sa disparition par étouffement de la planète. Elle concerne environ 600 millions d’hommes et de femmes.
Charmant, émouvant, drôle. Julie Lezzie confirme qu’elle est aujourd’hui une des meilleures auteures de la lesbosphère.
Quelle régression pour un pays autrefois plutôt ouvert et où je n’ai plus aucune envie d’aller .